Ma pratique tient compte de tous ces différents aspects, me permettant d'identifier les sources ou causes d'une problématique et mettre en place les solutions de traitement les mieux adaptées.
Naturopathie
Une philosophie, un art et une science de la santé dans laquelle le praticien va à la rencontre de l'autre, afin de collaborer pleinement pour tirer profit de la faculté innéé d'autoguérison de l'organisme et mettre en place les conditions nécessaires au maintient de la santé. Elle se pose en système holistique, tenant compte à la fois des dimensions physique, mentale, émotionnelle, énergétique et spirituelle de l'être humain. Elle aide à retrouver les principes de base de la vie en respectant la spécificité de chacun et en se servant de ce que la nature met à sa disposition.
Conseil en hygiène de vie
Malgré les progrès majeurs fait par la médecine, méthodes et précision de diagnostic, chirugie et microchirurgie, les greffes, gestion des douleurs et des infections graves, etc.. , qui nous permettent de gérer et combattre plus de troubles de santé ainsi que de vivre plus longtemps. Ils n'ont pas diminué le nombre de malade ni endigué les maladies dites de civilisation: obésité, troubles cardio-vasculaires, allergies, maladies psychiques, cancers, qui sont en constante augmentation.
A mon avis, cela peut venir du fait que, ces dernières années, la médecine allopathique a concentré ses recherches en divisant l’être humain en compartiments et parties toujours plus petites. Ce qui a permis de faciliter des avancées dans la connaissance du microcosme (biologie, génétique), a peut-être aussi favorisé une telle hyperspécialisation chez le praticien, qu’il fini par perdre de vue toute la complexité et la finesse des interactions, des forces et des équilibres qui sont en jeu dans le maintient ou le retour vers la bonne santé. Mais également, les différents produits et médicaments utilisés peuvent entrainer des effets secondaires, voir des complications, ce qui en limite les voies d’action.
La prévention de la santé est essentiellement liée à l'éducation, effectivement si l'individu ne fait pas la démarche personnelle de prendre conscience des mauvais mécanismes et habitudes qui sont les causes premières de la dégradation de sont terrain et mettre en place des changements visant à les corriger. Aucune thérapeutique qu'elle soit allopathique ou dite naturelle ne pourra prétendre agir à sa place et rétablir les conditions indispensables au retour et au maintient de sa bonne santé.
Le naturopathe se positionne en véritable éducateur de santé globale (holistique) cherchant à s'occuper de la qualité de vie de la personne, physique ,émotionnelle, mentale, énergétique et spirituelle et par conséquent intrinsèquement reliée à l'équilibre socioculturel, écologique et planétaire. En donnant la priorité à l'hygiène et aux réglages alimentaires ( nutrition, cures saisonnières, équilibre intestinale,...), à l'hygiène psychique (gestion du stress, hygiène relationnelle, relaxation, relation d'aide,...), à l'exercice physique régulier et aux techniques de respirations (la marche, le yoga, les arts martiaux, la danse,...) , à la bonne élimination des déchets, à être en contact avec des sources vitalogènes aspects vibratoires et énergétiques ( soleil, eau , air, couleurs, pierres-cristaux, rayonnement, magnétisme,...) sans oublier les diverse techniques de massages et de réflexologies et la phytothérapie sous toutes ses formes.
Nutrition
Nos comportements alimentaires ne sont pas adaptés à notre nature.Nos apports sont supérieurs à nos besoins et nous mangeons mal. Nos aliments sont souvent raffinés, trop sucrés, trop gras et trop salés. Ils sont également appauvris en vitamines et minéraux. Ils sont en outre dévitalisés par leur mode de production, de cuisson et de conservation. De plus, notre digestion est perturbée par les excitants contenant des alcaloïdes (café, thé, chocolat). Nous faisons également des mauvaises associations qui produisent des toxines et peinent à être assimilées par l'organisme (amidons/fruits, céréales/viande). Et nous mangeons par habitude, trop rapidement et sans avoir faim.
Beaucoup de régimes existants sont inefficaces, déséquilibrants, déresponsabilisant voir dangereux et pourtant ils sont la réponse à une grande demande de la part des personnes en surpoids. Reprise du poids perdu, effet yoyo, comportement anorexique, frustration dépression, augmentation de la tabagie, baisse en vitamines, minéraux et acides gras, etc… sont des exemples des nombreux effets indésirables.
Le soutien de la santé passe par la nutrition, la digestion et la diététique afin de faires des choix alimentaires adéquats.
Afin de faciliter et d'améliorer la digestion, il est important de se tourner vers une alimentation biologique et de préférence crue (jus de légumes ou crudités). Etant donné que chacun a des capacités digestives différentes, il faudrait les prendre en compte afin de réduire la production de déchets. Les apports équilibrés en protéines végétales et animales sont à prendre en compte mais attention à la provenance de la viande qui ne doit pas être d'élevages industriels. Les sodas, l'alcool ou le café, par exemple, sont des faux aliments inhibiteurs de la digestion qu'il faudrait supprimer de notre alimentation. Ils entretiennent une inflammation de la muqueuse intestinale et déséquilibrent la flore intestinale (sucre industriel, produits laitiers et produits à base de gluten).
L'alimentation doit être prise de manière globale. Il est important de ne pas tomber dans la culture de l'aliment miracle et la fausse croyance d'un régime pouvant changer notre vie. Pleins d'autres points rentrent en compte dans l'hygiène de vie. La réforme alimentaire devrait se faire de manière progressive sans perdre de vue le plaisir de se nourrir et en étant vue comme un moyen de découverte de nouveaux aliments mieux adaptés à nos propres besoins et d'une autre manière de les cuisiner.
Phytothérapie occidentale
L'utilisation de plantes médicinales est encore aujourd'hui la forme de médecine la plus répandue à traver le monde. Elle représente une part importante des systèmes médicaux traditionnels, tels que par exemple la Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) ou l’Ayurveda. Les premières informations écrites nous sont parvenues 5000 ans avant J.-C. des Sumériens qui peuplaient la Mésopotamie. Dans leur «Papyrus Neder», datant de 2000 ans avant J.-C., les Egyptiens décrivaient déjà des recettes et des indications pour plus de 700 substances d’origine animale ou végétale. Dans la Grèce antique, la phytothérapie connut un véritable épanouissement grâce à Hippocrate (460-377 av. J.-C.). Pendant le premier siècle de notre ère, Dioscoride rédigea son «Materia medica» qui répertorie plus de 600 plantes médicinales et qui influencera tous les manuels de médecine jusqu’au 16e siècle.
Au début du Moyen Age, en Europe, c’était principalement les moines et les nonnes qui s’intéressaient aux vertus curatives des plantes et des herbes et qui documentaient leurs connaissances par écrit. Les écrits de l’abbesse Hildegard von Bingen (1098-1179) sont particulièrement renommés. Il existait aussi une médecine par les plantes populaire, pratiquée par les guérisseuses. Grâce au développement systématique de la science des plantes médicinales par des savants tels que Paracelse (1493-1541), les médecins et les pharmaciens commencèrent aussi à utiliser la phytothérapie. Paracelse était le premier à définir les règles de la «Théorie des signatures»: pendant des millénaires, on avait considéré que chaque plante possédait un signe extérieur de son efficacité. Ainsi par exemple, les noix étaient prescrites pour le traitement des maux de tête à cause de leur ressemblance physique avec le cerveau humain, le chardon pour traiter le point de côté et les fleurs rouges contre l’anémie.
Au début du 19e siècle, de nouveaux procédés ont permis d’isoler les principes actifs des plantes, comme par exemple, la morphine qui provient du suc laiteux cristallisé du pavot. Mais, dès la fin du 19e siècle, la phyto-médecine perdait son monopole suite au développement rapide de la chimie moderne qui rendait possible la fabrication de médicaments de synthèse. Au milieu du 20e siècle, on commença à étudier l’efficacité thérapeutique des extraits actifs et des différents composés des plantes, afin de pouvoir les standardiser. Cette démarche raviva l’intérêt pour la phytothérapie qui fut dès lors utilisée aussi bien par les naturopathes que par les médecins conventionnels.
La phytothérapie utilise non seulement les principes actifs isolés mais les plantes entières et leurs différentes parties, telles que les feuilles, les racines, les pétales, les graines et l’écorce. Le taux du principe actif d’une plante médicinale dépend de la saison, de sa localisation, des engrais qu’elle reçoit, du moment de la récolte et de la façon dont elle est conservée. La substance active principale détermine le domaine d’application médicale, mais l’effet total repose sur l’interaction entre les différents ingrédients.
La phytothérapie signifie à la fois utilisation de la plante pour un usage thérapeutique (extrait total de plante, macération, tisanes médicinales, poudre de plantes... par ex.) ou sert de nom générique pour regrouper toutes les branches spécifiques :
- L'aromathérapie
- L'hydrolathérapie
- La gemmothérapie
- La spagyrie
- L'homéopathie
On vit actuellement un regain d'intérêt pour la phytothérapie influencé d'un côté par des médecins et scientifiques et de l'autre par les malades qui, lassés par les effets secondaires de plus en plus nombreux des traitements chimiques (chimiothérapie, antibiotiques, etc.), reclament des thérapeutiques plus douces à chaque fois que celles-ci peuvent les soigner efficacement. Sans remettre en question les avancées cliniques et pharmaceutiques actuelles, la réhabilitation de la phytothérapie prend donc un nouvel essort et son champ d'application ira en s'amplifiant dans l'avenir.
Iridologie
L’iridologie est un outil précieux de bilan, le thérapeute étudie l’iris, qui est la seule partie de notre corps physique que l'on peut observer sans obstacle, par transparence. Le principe de base est l’idée que tous les sytèmes et organes du corps sont reflétés au niveau de l’œil dans l'iris.
Il existe différentes cartographies, semblables au cadran d’une montre, qui servent de modèle pour l'interprétation. Les cercles iriens partagent l’iris en pluisieurs sections qui correspondent à différents organes. Les désordres fonctionnels et les divers troubles se manifestent sous forme de signes tels que, par exemple, des anomalies de forme et de couleur, défauts, tâches, lacunes, dans les différentes régions de l’iris ou de la pupille.
En examinant les modifications de l’iris, l'on recherche plutôt à définir le potentiel vital de la personne, son hérédité, les divers excès et carrences, quelles stratégies de survie ont été mises en place par le corps pour s'adapter et maintenir son équilibre. Les marques qui apparaissent sur l’iris visent à fournir des informations sur les points faibles de l’organisme qui peuvent favoriser les maladies. Ainsi, on peut reconnaître les causes du développement d'une problèmatique dans sa globalité et en tenir compte lors de l’élaboration du traitement et s'en servir pour redresser le terrain biologique.
Bio-résonance
Le naturopathe prend en compte la morphologie, l’anatomie, la physiologie et la pathologie de « tous les plans » (physique, émotionnel, mental, énergétique, spirituel, socioculturel, et éco-planétaire). L’être humain est plutôt vu tel un système dynamique qui est en relation avec d’autres champs d’énergie. Cela s’appelle la prise en charge holistique ou systémique.
En effet, si nous observons une personne en nous basant uniquement sur un point de vue (par exemple physique), nous pourrons effectivement observer une image de sa réalité mais nous ne pourrons voir l’image de sa complète réalité.
Dans la naturopathie, différents « points de vue » (Réflexologie, Anthroposophie, Médecine Chinoise, Homéopathie, Médecine Ayurvédique, etc.) sont disponibles pour nous permettre de voir différents aspects de la réalité de la personne afin de pouvoir l’accompagner de manière holistique. La médecine allopathique en fait partie. C’est en mettant ensemble les connaissances de tous ces points de vue différents et complémentaires que nous aurons les meilleurs résultats.
La médecine naturelle prend en compte la force vital, l’énergie de vie universelle(ou champ organisateur) et cherche sa collaboration afin de lui permettre de retrouver sa forme originelle et saine.
La maladie et la douleur y sont considérées comme une occasion de croissance et de connaissance ainsi que tel un processus. La guérison correspond à la modification du mode de vie réactivant la régénérescence, voir l’auto guérison. Les symptômes sont secondaires et ce sont les terrains qui sont essentiels et sur lesquels on va travailler afin de les modifier en levant les « barrages » qui empêchent la libre circulation de l’énergie et de l'information.
La responsabilité de la santé est partagée entre le thérapeute et le client. Le thérapeute prend en compte le champ organisateur de toute chose. Il est intéressant de noter qu’il y a des similitudes entre les cristallisations sensibles des champs organisateurs de nos différents organes et certaines plantes. C’est sur cette base que sont choisis différents remèdes. Ils permettent de redonner une information saine au champ organisateur « souffrant » qui a besoin d’être traité par des principes de résonnance.
L’être-humain doit miser sur sa conscience de lui-même et trouver le moyen de stimuler les forces positives de guérison de son organisme. Le rôle du thérapeute est de l’aider à y parvenir et son approche est centrée sur le fait de se soucier et prendre soin de... On tient plus compte de l’état global de la personne avant sa maladie, car on pense qu’elle a les ressources pour s’auto guérir (vitalisme). C’est une pédagogie de santé vers l’autonomie qui aide à responsabiliser l’individu. La personne devrait s’occuper de sa santé avant d’être malade et de manière préventive.
Dans cette approche, le diagnostique fait partie du traitement et il est mis en place sur la base d’un bilan naturopathique (étude du mode de vie, outils de bilan énergétique). Le thérapeute va mettre en œuvre une démarche afin d’identifier la cause première. Un accompagnement holistique est mis en place car l’approche énergétique est fondamentale, les surcharges humorales sont essentielles, la spiritualité du patient est considérée comme importante, la psychosomatique et la somatopsychique sont intégrées.
De nos jours, toutes ces approches informationnelles et vibratoires nous dévoilent une nouvelle dimension de la médecine, l'approche "Quantique". Toute une gamme d'appareils a été mise sur le marché, notamment grâce aux évolutions technologiques de l'astrophysique russe, liant le therme biorésonnance avec la notion de machine informatisée. Mon approche se voulant plus humaine et intuitive, j'ai développé une méthode se basant sur ces principes et réactualisant des démarches et outils déjà pratiqués et connus par plusieurs civilisations et courant de pensée humaine ancestraux.
Ne perdant pas de vue que le travail de synthèse indispensable à la compréhension d'un cas, ne peut se faire que grâce à des connaissances solides et une écoute attentive de l'histoire du patient.
Massage
Réflexologie: La réflexologie trouverait ses racines il ya plus de 12000 ans a.v. J.-C. dans les anciennes civilisations Inca peuplant le Pérou. Il y a plus de 5000 ans, des témoignages archéologiques suggèrent qu'elle se pratiquait déjà en Chine , au Japon et en Egypte. On retrouve des traces d'une thérapie stimulant des points réflexes dans le haut Moyen Age, connue aussi bien des seigneurs que des paysans. En 1890, elle est redécouverte par le Dr William H. Fitzgerald,il s’intéressa au savoir médical des Indiens dont les méthodes traditionnelles de traitement comptaient également certaines formes de réflexologie. Fitzgerald systématisa, compléta ces anciennes traditions et développa sa propre méthode qu’il présenta en 1915 comme «La thérapie des zones» (Zone Therapy). Dans les années trente, cette méthode fut reprise par la masseuse américaine Eunice Ingham (1889-1974) qui la rendit accessible à un large public de non-initiés. Le massage des zones réflexes du pied est aujourd’huis reconnu comme une méthode de traitement spécifique et s’est largement répandu dans toute l’Europe.
Plusieurs théories visent à expliquer l'efficacité de la réflexologie. La vision traditionnelle dit que l'énergie vitale circule le long de canaux appelés méridiens: lorsqu'il y a un blocage, la maladie s'installe, le plus souvent là où l'apport énergétique a baissé. Le massage lèverait les blocages permettant à l'énergie de circuler à nouveau sans entrave. Les théories modernes révelent qu'il existe plus de 70000 terminaisons nerveuse qui les connectent aux autres parties du corps. Un travail sur les pieds stimulerait le système nerveux en lui permettant de retrouver l'équilibre et un fonctionnement normal. D'autres théories expliquent que la réflexologie agit sur les champs électromagnétiques du corps, sur ses vibrations naturelles et ses capacités d'autoguérison ou encore sur les toxines accumulées dans les pieds, qu'elle contribue à éliminer.
Massage tissu conjonctif: Cette technique de massage a été développée par Elisabeth Dicke (1884-1952), dans les années 1920 cette gymnaste allemande est gravement malade et ses problèmes de circulation sanguine la condamne à l'amputation de l'une de ses jambes. Avec une mobilité très réduite et l'obligation de rester allongée elle souffre d'horribles douleurs au dos, ce qui va la motiver à pratiquer de l'automassage sur son bassin. Forcée de remarquer des zones de sa peau gonflées et endurcies, elle s'emploie à les frictionner énergiquement, ce qui va non seulement calmer ses douleurs et contre toute attentes améliorer la circulation sanguine de ses jambes et lui éviter l'amputation. Suite à ses étonnants résultats, elle continuera à dévellopper la méthode qui se diffusera rapidement d'abord en Allemagne puis dans le rest de l'Europe, encore aujourd'huis elle est connue des physiothérapeutes.
C'est une forme de réflexologie qui cible spécifiquement le tissu conjonctif sous-cutané, elle repose sur la théorie des points réflexes selon laquelle les organes internes sont connectés à certaines zones spécifiques et bien déterminées de la peau, par le biais des voies nerveuses. En effet, si un organe est souffrant ou développe une maladie la zone réflexe correspondante subira aussi une transformation et l'on retrouvera une altération du tissu conjonctif sous-cutané correspondant (signes de gonflements,compression,zone douloureuse). Ce sont ces zones spécifiques et tissu qui seront la cible du traitement, qui agira de manière localisée pour apaiser les tensions et raideurs mais permettre également de traiter des organes situés en profondeur.